Photo par Kealan Shilling
Si Gus Englehorn n’existait pas, une de ses chansons devrait l’inventer. Un ancien snowboarder professionnel transformé en prophète psych-pop nomade, Englehorn mène une existence en montagnes russes qui s’apparente à une des fables fantastiques qui composent son répertoire. En janvier 2020, à l’aube de la pandémie, Englehorn a lancé son premier album, Death & Transfiguration, qui s’ouvrait par un sermon jangle-punk, « My Own Paradise », qui s’est avéré être une déclaration d’intention cadrant parfaitement avec une période où nous avons tous été contraints à nous confiner dans nos sanctuaires privés pendant des mois qui ont semblé être des années. Mais même lorsque la vie a repris son cours, Englehorn est demeuré dans un monde déjanté de sa propre création. […] Là où Dungeon Master (2022) se tenait en équilibre entre la dissonance artisanale et les récits progressifs, son troisième album, The Hornbook, transmute magiquement toute l’histoire du rock’n’roll du 20e siècle — les classiques des années 1950, le rock garage des années 1960, la flamboyance glam des années 1970, la transgression indie des années 1980, les curiosités lo-fi des années 1990 — en une transmission extraterrestre en provenance du futur. The Hornbook a été en grande partie composé sur l’île de Maui, puis il a été enregistré à Montréal avec le réalisateur Mark Lawson, dont le CV inclut un des disques préférés d’Englehorn : Who Will Cut Our Hair When We’re Gone? (2003). « The Unicorns a été une immense influence », confie Englehorn, et en effet, on peut entendre une sensibilité enfantine similaire sur The Hornbook, des jeux de mots à la Dr. Seuss à l’enthousiasme espiègle dans sa voix lorsqu’il chante, en passant par son approche expérimentale ludique avec sa partenaire musicale, la batteuse Estée Preda. The Hornbook a été mixé par Paul Leary du légendaire groupe de noise-rock Butthole Surfers.
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“Englehorn’s latest record is a fascinating dose of outsider indie rock, carried by Englehorn’s yelping vocals, gleefully offbeat songwriting, and darting melodies. [A] fantastically weird [...] record.”
“This is hitting in a weird way”
“The unpredictable, paranoid, string and synth-laced Dungeon Master is [...] a love letter to garage rock where everything seems effortless, and where wonderful vocals [...] meet nervy riffs. ★★★ 1⁄2”
“[...] intriguing, off-kilter vocal delivery and melodic sound reminiscent of ‘90s indie rock and ‘80s post punk.”
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Drugdealer, Juan Wauters, Chad VanGaalen, Godcaster, Plants & Animals, Bibi Club, Fred Fortin