Truck Violence

HARDCORE | PUNK ROCK

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Truck Violence (Montréal, QC) hurle les réalités amères du milieu rural à travers le hardcore et le folk, usant d’une sincérité et d’une impudeur quant à leur mécontentement dans la création d’un amalgame sonore à la fois austère, solennel et réconfortant. En 2021, alors que le guitariste-banjoïste Paul Lecours et le chanteur-poète Karsyn Henderson quittent les prairies de l’Alberta pour venir s’installer dans la métropole québécoise, débute une transition de la campagne vers la ville qui les voit adapter leur art sans toutefois perdre son authenticité ou ses racines. Puisant aussi à même des influences punk, shoegaze et sludge, leur son actuel est le résultat de multiples projets ayant encouru nombre de permutations stylistiques.

Ayant d’emblée introduit son insolent mais sincère vacarme aux assemblées punk du milieu underground  montréalais en tant que No Cru5t, le collectif a rapidement permuté vers sa seconde incarnation, partageant les planches avec Deli Girls, Dear-God, Crabe, en sus de participer au FME et à Taverne Tour, sous l’appellation Truck. Ce transit musical est immortalisé sur Hinterlands, un album insolite alliant hardcore, musique électronique et rap expérimental qui paraît en juillet 2023. Enfin arrivé à sa géométrie de prédilection en vue de l’ajout de Chris Clegg (Basse) et de Thomas Hart (Percussion), Truck Violence a aujourd’hui entièrement délaissé ses influences rap et électronique, cherchant plutôt à cimenter ses thèmes et son message à travers des prestations brutales en célébration des gens et des lieux qui composent sa réalité. Jouer des concerts devient plutôt un exutoire positif pour une douleur partagée : des larmes sont versées et le sang pulse au rythme d’une communauté bien soudée.

Avec la parution du long jeu Violence (5 juillet 2024 via Mothland), la voie est libre pour Truck Violence et ses hymnes dévastateurs, violents appareils sonores de progrès, embrassant la catharsis du hardcore sans délaisser les racines folk et country du groupe. Ce premier album du quatuor montréalais se questionne sur le silence entourant l’addiction, l’abus et la dysfonctionnalité qui minent la vie familiale en milieu rural. Hautement recommandé à celles et ceux qui apprécient la musique lourde à tendance expérimentale et au propos senti à la Show Me The Body, Chat Pile ou The Chariot.

BOOKING:
JULIANA@MOTHLAND.COM
PRESS:
PHIL@MOTHLAND.COM

 

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PRESSE

The Montreal-via-Alberta punks solder together noise rock, sludge metal, bluegrass, and post-hardcore for a forceful—and moving—rejection of stereotypes of their prairie homeland. 8/10
— Pitchfork
Truck Violence’s lurid combination of blast beats, breakdowns, and banjos is the perfect conduit for Karsyn Henderson to express his plain distaste for the West’s stereotyping as a wasteland. [...] Violence is an album hellbent on forcing the listener to confront the daily dehumanization that people both go through and put themselves through. It’s a shot of sobering honesty, a shot of sneering rage that demands you engage with its modus operandi lest you succumb to complacency.
— Bandcamp
[...] there’s something unique about the way that Truck Violence blends its Western Canadian influences with hardcore. On Violence, scotch flannels, trapper hats and rubber boots meet twangy banjo licks, thrashing guitars and a wobbling voice that echoes into nothingness – starkly bouncing off hardened stone walls and flowing through cold, rushing rivers. 8/10
— Exclaim!
[...] this self-produced experimental epic stylishly amalgamates elements from hardcore, punk, shoegaze, sludge, and folk, disrupting well-structured styles in a way you’ve probably never heard before – carrying a unique spirit that roams somewhere between the countryside, eerie folk, and something nestled in the intricate corners of cities.
— IDIOTEQ