CDSM

DEATH DISCO | POST-PUNK

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Alors que le Soleil plombe sur une planète qui se réchauffe sans cesse, des synthétiseurs étranges conversent au loin, ponctués de rythmes disco et de grognements de saxophone, similaire à un jukebox rempli de tentations  sadiques et divines, jouant des mélodies goth rock-esques qui vous hantent à jamais… Vous avez été exposé.e.s au torrent sonore de CSDM a.k.a. Celebrity Death Slot Machine, un collectif d’Atlanta (GA), qui partage des membres avec les projets alternatifs d’hier et d’aujourd’hui: Material Girls, Neighbor Lady, Mothers et Rose Hotel. 

Lorsque dans les confins de son studio de béton souterrain sans fenêtre, CDSM est l’affaire de Ben Presley (chant, guitare/basse, synthétiseurs, batterie), Tyler Jundt (chant, saxophone, synthétiseurs) et John Restivo Jr. (chant, batterie, percussion). En spectacle, le trio est accompagné par Jack Blauvelt (synthétiseurs, percussion, chœur), Drew Kirby (synthétiseurs, guitare, chœur) et Vinny Restivo (synthétiseurs, basse, percussion, chœur). Cette formule, qui consiste d’un chorus maléfique de synthétiseurs, d’une batterie scintillante sous la brume rouge, d’une machette en cuivre dans le registre ténor, puis d’une cascade de mélodistes hétéroclites, choque tel un défibrillateur le pouls de l’auditoire.

Hell Stairs (29 avril 2022 via Exag’ & Mothland), le premier EP de CDSM, se montrait tout à la fois glamour et sombre, chic et délabré, édifiant et écrasant, décrit par l’ensemble tel « un cliquetis hédoniste dans un verre ou encore un tintement de vieux change dans le creux d’un torse. » Bien qu’on puisse s’y référer comme étant une somme de post-punk, de darkwave et de no wave, c’est plutôt une invitation à danser pour secouer la douleur, tout en plaintes croonesques, en vrombissements de synthé, en maelstroms de saxophone et en cadences bien ancrées sur le temps. La trame sonore parfaite pour une visite au casino néon noir qui se trouve au coin de la rue.

Suite à la parution du simple “GOGO”, marquant une année passée sur la route à jouer aux quatre coins de l’Amérique du Nord ainsi qu’en Europe, la bande d’Atlanta revient le jour de l’Halloween avec “DOM” (31 octobre 2023 via Mothland & Exag’Records), lequel vient accompagné d’une vidéo tournée en un seul plan-séquence.

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JP@MOTHLAND.COM

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Presse

The packed in crowd caused so much heat the fire department showed up, but not before Atlanta, Georgia collective CDSM burned down the house in their own figurative fashion. A swarm of synthesizers, growling saxophone, and something that can only be described as gothic disco grooves were all part of the freakiest, wildest, most fascinating set I caught at M.
— Consequence
You now have the perfect clair-obscure soundtrack for a night at the local neon-noir casino. You’re welcome.
— Post-Punk.com
Both glamorous and bleak, swanky and derelict, uplifting and crushing, “Concrete” is post-punk meets darkwave meets no wave, but it’s even more so, an invitation to dance away the pain, in the form of croonesque laments, rumbling synths, swirling saxophone riffs and tight four-to-the-floor cadences. An unforgettable single with a dark, edgy demeanor. A must-listen for post-punk heads.
— The BIG TAKEOVER
The freakout post-punk of Celebrity Death Slot Machine—a.k.a. CDSM—sounds like the backdrop of a vague and hallucinatory David Cronenberg film, or that point in From Dusk Till Dawn when everyone starts turning into vampires. You’re not really sure what’s happening or why, but you’re left thoroughly entertained.
— FLOOD

Événements Majeurs

PREMIÈRES PARTIES:
Iceage, Sheer Mag, The KVB, Pelada,
Peel Dream Magazine, BODEGA
Model/Actriz, Annie-Claude Deschêne (of Duchess Says & PyPy)